Il a été érigé à la demande de l’aristocrate Gianmaria De Zanna, vers la fin du XVIIe siècle.
Semblable à une petite forteresse, il n’était pas apprécié des habitants d’Ampezzo et sa construction fut interrompue en 1696 parce qu’il n’était pas conforme aux principes de la constitution locale.
En 1809, il fut incendié et bombardé par les Français.
Il ne reste aujourd’hui que les deux tours, une partie du mur d’enceinte et l’église dédiée à la Trinité.
Il a été érigé à la demande de l’aristocrate Gianmaria De Zanna, vers la fin du XVIIe siècle.
Semblable à une petite forteresse, il n’était pas apprécié des habitants d’Ampezzo et sa construction fut interrompue en 1696 parce qu’il n’était pas conforme aux principes de la constitution locale.
En 1809, il fut incendié et bombardé par les Français.
Il ne reste aujourd’hui que les deux tours, une partie du mur d’enceinte et l’église dédiée à la Trinité.
Il a été érigé à la demande de l’aristocrate Gianmaria De Zanna, vers la fin du XVIIe siècle.
Semblable à une petite forteresse, il n’était pas apprécié des habitants d’Ampezzo et sa construction fut interrompue en 1696 parce qu’il n’était pas conforme aux principes de la constitution locale.
En 1809, il fut incendié et bombardé par les Français.
Il ne reste aujourd’hui que les deux tours, une partie du mur d’enceinte et l’église dédiée à la Trinité.
Il a été érigé à la demande de l’aristocrate Gianmaria De Zanna, vers la fin du XVIIe siècle.
Semblable à une petite forteresse, il n’était pas apprécié des habitants d’Ampezzo et sa construction fut interrompue en 1696 parce qu’il n’était pas conforme aux principes de la constitution locale.
En 1809, il fut incendié et bombardé par les Français.
Il ne reste aujourd’hui que les deux tours, une partie du mur d’enceinte et l’église dédiée à la Trinité.
Il a été érigé à la demande de l’aristocrate Gianmaria De Zanna, vers la fin du XVIIe siècle.
Semblable à une petite forteresse, il n’était pas apprécié des habitants d’Ampezzo et sa construction fut interrompue en 1696 parce qu’il n’était pas conforme aux principes de la constitution locale.
En 1809, il fut incendié et bombardé par les Français.
Il ne reste aujourd’hui que les deux tours, une partie du mur d’enceinte et l’église dédiée à la Trinité.